Le coronavirus a fait de nous des chastes et des saints, même sans aller à l’église. On ne se donne plus de baisers, on ne se touche plus. Du coup, pas moyen de fêter la journée internationale du baiser ce 6 juillet. Le Covid-19 peut-il nous faire une dérogation ? Certes, on aura encore une journée du baiser l’année prochaine, mais c’est très loin pour moi. En attendant, on s’exerce à la continence, on prie…
Cette année, le coronavirus a gâché la Saint-Valentin, notre journée des amoureux. Voilà qu’il ne nous permet même pas de nous faire des baisers. Même en une journée internationale du baiser comme aujourd’hui. Alors, je ne doute plus un seul instant que c’est une pandémie contre les amoureux. Une maladie qui tue l’amour.
Sinon, comment donner un baiser à mon homme avec un masque au visage ? Je ne peux même plus lui serrer la main. Je lui donne mon coude. Et dès que je tousse, même sans être malade, il sursaute et recule de quelques centimètres. Dès que je tousse encore, il recule une seconde fois, jusqu’à se tenir à un mètre de moi. Formidable ! On se suspecte, on perd la confiance…
Pourtant, l’amour – le vrai – n’aime ni les masques ni la distanciation sociale. Il n’aime même pas les habits. C’est en cela que le coronavirus est cruel, avec ses fameux gestes barrières.
Ah, même pas un baiser mon amour !
Mon opinion ! Le covid19 ne peut pas nous empechés de nous embrasses. Brèf; pour moi le corona virus n’existe pas.