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Etendre l’alcootest à l’administration publique : une idée révolutionnaire ?

Imaginez un monde où chaque fonctionnaire public doit souffler dans un alcootest avant de commencer sa journée. L’idée peut sembler choquante, voire radicale. Pourtant, à y regarder de plus près, elle pourrait bien changer la donne.

Il n’y a pas longtemps en RDC, un député a fait la une des réseaux sociaux après s’être présenté à l’Assemblée nationale dans un état d’ébriété. Cet incident peut  relancer le débat sur la sobriété dans les lieux de pouvoir. Si un élu peut se présenter ainsi, qu’en est-il des autres secteurs de l’administration publique ?

L’armée et la police également concernées

On pourrait étendre l’alcootest à l’armée et à la police. Après tout, ces professions exigent une vigilance constante et un sens élevé de responsabilité. Imaginons les répercussions positives d’une telle mesure : des agents toujours en pleine possession de leurs moyens mentaux, prêts à intervenir de manière optimale.

Combien de fois n’avons-nous pas vu des policiers ou des militaires errer dans les rues en état d’ébriété ? Des agents de la circulation routière sous l’emprise de l’alcool, voire de la drogue ?

A mon avis, pour éviter l’ivresse au travail, il faudrait prévoir des sanctions sévères. Des sanctions pouvant aller jusqu’à la radiation pure et simple pourraient dissuader les plus récalcitrants. Après tout, la sécurité publique et l’intégrité des institutions sont en jeu.

Un changement de culture

Au-delà des sanctions, c’est une véritable révolution culturelle qui pourrait se dessiner. Encourager la sobriété et la responsabilité au sein des institutions publiques pourrait redorer leur blason et renforcer la confiance des citoyens. Alors, cette idée radicale ne serait-elle pas finalement une piste à explorer sérieusement ?

 

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