Transport en commun à Kinshasa : une affaire de patience et de muscle

La ville aux 8 millions d’habitants intrigue par ses routes continuellement embouteillées. Mais elle intrigue aussi par la rareté de transport en commun dans certains carrefours aux heures de pointe. Quand on attend un bus ou un taxi pour rentrer chez soi vers a fin de la journée, la patience est une vertu. Tour de la question avec une série de photos que j’ai réalisée.

Au niveau de l’arrêt Mandela sur le boulevard du 30 juin. Un bus approche. On attend que le receveur indique sa destination.

Puis l’on joue des coudes, une fois la destination connue. Il faut être à la fois agile et fort. Il faut à tout prix monter à bord. On ne sait pas va arriver le prochain bus.

Pas nécessaire de considérer qu’on est une femme. Il faut monter à bord de ce bus.

Sinon il y a lieu de se payer une course à moto. Mais là c’est une autre affaire.