La deuxième édition du concours Prix Henriette Eke est ouverte jusqu’au 30 septembre 2023. Les professionnels des médias œuvrant en République démocratique du Congo sont appelés à postuler en s’inscrivant sur la plateforme http://bit.ly/3PhPxR1.
En plus des informations à renseigner sur les candidats, les œuvres à poster en ligne doivent avoir été diffusées ou publiées entre le 13 juin et le 30 septembre 2023 sur des médias régulièrement installés en RDC.
Placé sous le thème « Mettre fin aux violences basées sur le genre en RDC », le concours Henriette Eke est organisé par le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), sous le parrainage du ministère congolais de la Communication et des Médias. Il s’inscrit dans le cadre de la réalisation de ses trois résultats transformateurs pour l’atteinte des ODD (Objectifs de développement durable), à savoir : éliminer les violences basées sur le genre et les pratiques néfastes à l’égard de la femme ; éliminer les besoins non satisfaits en planification familiale et éliminer les décès maternels éévitables
L’implication des professionnels des médias fait partie de la stratégie préconisée, afin de susciter l’intérêt des journalistes au traitement des questions liées aux VBG pour emmener la communauté à briser le silence en dénonçant les auteurs des violences à travers les mécanismes mis en place ; mais aussi à prévenir tout acte susceptible de porter atteinte à l’intégrité et la dignité de la femme et de la jeune fille.
Conditions d’éligibilité
Pour participer au concours, le candidat journaliste doit être de nationalité congolaise (RDC) ; posséder une carte de presse délivrée par l’UNPC. En plus des conditions d’éligibilité, le jury composé de professionnels de la communication et de l’information, mais aussi d’experts en genre, départagera les candidatures sur la base des critères suivants :
- L’originalité et la créativité de la production ;
- La qualité et la pertinence du thème abordé qui doit être captivant et compréhensible pour un large public ;
- La rigueur dans l’analyse ;
- La qualité rédactionnelle (Images, commentaires, sons) ;
- L’intérêt humain en donnant la voix aux acteurs ou aux personnes concernées ;
- Le style de narration et de réalisation, mais aussi le respect des directives éthiques en matières des VBG, y compris le respect de la dignité des survivants.
Pour informations supplémentaires, contacter Brigitte Kiaku, spécialiste en communication.
Tél :243 818302437, Email : [email protected]