Dans la province du Kwango où j’ai passé 43 jours, j’ai vu des populations dans une pauvreté inimaginable. Malgré sa proximité avec Kinshasa la capitale, le Kwango est totalement oublié des autorités. Ici, les réalités sont de loin bien différentes de celles de Kinshasa.
Le Kwango est l’une des provinces nouvellement créées en RDC. Elle est issue de l’ancienne province du Bandundu. À voir son état de dénuement, j’ai compris qu’il existe un énorme fossé entre le développement de Kinshasa et la pauvreté dans le reste du pays. Toute la modernité est concentrée dans la capitale, alors qu’au Kwango, c’est presque l’antiquité. Rien, ou presque, n’existe dans cette nouvelle province : programmes de développement, investissements, emplois, routes, infrastructures, bref, la fameuse « modernité en marche » clamée çà et là par les autorités est totalement inexistante dans la province du Kwango.
Une province pourtant gorgée de richesses naturelles !
Traversé du nord au sud et de l’est à l’ouest par d’innombrables savanes arborescentes, mais aussi des eaux douces tant recherchées ailleurs, le Kwango est réputé pour être le grenier agricole local. Malheureusement, cette nouvelle province est loin de développer une industrie agricole florissante.
Ses chutes et ses rapides présentent un potentiel de production d’électricité à même de combler le vide laissé par les Centrales hydroélectriques Inga I, II ou III, dont les poteaux arpentent inutilement le Kwango comme de simples objets décoratifs car toute la province est dans le noir. La population vit dans une précarité indescriptible : pas de routes dignes de ce nom, pas d’électricité, pas non plus d’infrastructures hôtelières…
La population du Kwango n’a même pas accès au minimum vital. Mes yeux ont vu des ponts encore en bois, des habitats en chaumes… Bref, la vie reste rudimentaire au Kwango, et ne permet de donner aucun espoir aux jeunes.
Kinshasa n’est pas le Congo
Cette pauvreté dans le Kwango pousse bon nombre des jeunes à émigrer vers l’Angola. C’est là leur eldorado ! Pourtant, il y a lieu de créer des activités sur place en développant le commerce entre le Kwango et les provinces angolaises voisines de la RDC, comme l’a fait le Kongo Central. Hélas, les frontières sont toujours fermées. Un des hauts cadre de la province, qui requiert l’anonymat, déclare : « C’est le gouvernement central qui bloque tout, je ne sais pas pourquoi. La politique a ses raisons que la raison ne connait pas. »
Construire des routes à Kinshasa c’est bien, mais il faut aussi le faire dans le reste du pays, car Kinshasa n’est pas tout le Congo. Le Congo, c’est aussi des villages tels que Kulunji, Feshi, Mawanga, Panzi, Popobakaba…et plein d’autres localités reculées qui ont aussi besoin d’être modernisées.
Privés des programmes et des investissements du gouvernement central, les fils du Kwango sont abandonnés à leur triste sort. Ils méritent eux aussi une attention particulière du gouvernement. Je me demande quand est-ce que le programme « Révolution de la modernité », tant chanté par les autorités, deviendra une réalité pour cette population du Kwango.
Mais où sont les autorités de cette contrée du pays? S’agit-il d’un seul vilage ou c’est toute une entité qui est presque oubliée? Je regrète!
Frères et soeurs,Mms et Mrs Pères et Mères laissons la politique, atandons l’homme qui avait réçu l’étoil déscendu du scièl y a au moin 17ans,car c’est cette étoil qui as des mots à dir aux peuples à ce temps, ainsi pourquoi vs ne vs demmandez pas comment ls choses marche pas? précedamment on ne vivaient pas comme ça, pourquoi seulement à ce temps! en bréf cet envoié de JÉSUS-CHRIST est en RDC, et attention lorsque vs verrez quelq’un qui parle sans craint ni peur d personne, si vs voiez quelqu’un d tel genre sachent que lui! et n soyer emporté avec toute aire satanique, car cet envoié a ses propre mots que quelqu’un d’aure ne peut le dir, Ce donc celle ou celui qui me comprends bien, sache dequoi je parles et les vrais spirtualistes n’auront pas ds commentaires à cette parole, bonne comprehension et salut à tous!!!