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Suis-je ta femme ou l’esclave de ta famille ?

Ecoute-moi, Alex! Quand je t’ai aimé, je pensais avoir trouvé l’homme de ma vie. J’ai refusé tous les autres garçons pour ne m’attacher qu’à toi. Je comprends que ce que je pensais être ton amour envers moi n’était que flatterie pour m’avoir dans tes griffes. Aujourd’hui, tu m’as laissée à la merci de ta famille.

Les hommes sont méchants. Alex m’a d’abord rendue grosse avant de m’épouser. Je réalise aujourd’hui que je n’aurais jamais dû accepter un mariage occasionné par une grossesse. Ce que je reproche à Alex c’est qu’il écoute sa famille plus que moi. Si bien que ses frères et sœurs sont ceux qui font la loi dans ma maison. Ils m’insultent et me tournent en dérision. Tout ce qu’ils disent de mal sur moi, Alex y croit sans vérifier, même si ce sont des mensonges. J’en ai marre.

Dans ma maison, ce sont ses sœurs qui décident

Avec Alex, depuis que nous nous sommes mariés, nous vivons dans une maison à trois petites pièces : salon, chambre, cuisine. Son jeune frère et deux de ses sœurs du village sont venus nous visiter. Je pensais que c’est pour un ou deux jours, mais ils se sont installés et ne bougent plus voici bientôt une année. Son jeune frère passe la nuit au salon et ses deux sœurs dans la cuisine. Cela m’encombre énormément et je ne me sens pas à l’aise chez-moi.

Et depuis qu’ils sont dans notre maison, les relations ne sont plus bonnes entre moi et mon mari. Ils lui racontent toujours des choses à côté contre moi. C’est eux qui décident de ce qu’on doit manger la journée, et Alex tolère ! Je suis là comme une étrangère dans ma propre maison.

Au revoir Alex !

Plus grave, mon mari m’impose de débarrasser la table chaque fois que ses frères et sœurs ont fini de manger. Il m’oblige même de nettoyer leurs habits pendant qu’ils sont là à rire aux éclats et à ne rien faire. Alex s’est permis de me giffler parce que je n’ai pas salué l’une de ses sœurs qui revenait à la maison après une sortie. D’abord, cette espèce de villageoise est une divorcée qui est venue envahir notre maison. Mon mari ne m’écoute plus. Je ne peux plus supporter cela, je pars.

Alors je dis à Alex : je t’aime toujours, tu es mon mari, mais je ne suis pas la femme de tes sœurs. Je rentre dans ma famille. Je ne reviendrai que quand tes frères et sœurs auront quitté ma maison. Tu devras choisir entre ta famille et moi. Au revoir !

 

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Les commentaires récents (2)

  1. Femme et esclave de la famille ( bon soyons euphémique et disons, deuxième mère de ma famille), ces deux concepts ne s’excluent pas dans la pratique.