Au Burundi, les parents et la famille sont heureux d’accueillir un enfant, de le bercer, de le nourrir, de payer sa scolarité de lui donner toute l’affection qu’il mérite. Mais jusqu’a un âge…? La blogueuse Elodie Muco nous raconte les malheurs des trentenaires burundais vivant encore au domicile familial.
Au Burundi, les femmes subissent une pression sociale indéniable, qui s’intensifie au fur et à mesure que la trentaine approche. Etre célibataire à 30 ans est considéré comme une tare, surtout chez les femmes. Pour beaucoup, à cet âge, on est censé mener une vie épanouie en famille.
La société burundaise ne voit pas d’un bon œil les jeunes femmes célibataires. Il n’est pas « normal », à 30 ans, de ne pas être déjà casée ou du moins, d’avoir un homme dans sa vie. Dans l’imaginaire collectif, l’horloge biologique est l’unique priorité pour les femmes.
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Ça Dépend.
Et alors ? ça fait quoi ?
ça fait alors quoi ?le moyen oblige