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7 billets sur l’aliénation culturelle en Afrique

En perte de repère, l’Africain se tourne de plus en plus vers la culture occidentale ou même orientale. Cela se traduit notamment par son habillement, sa coiffure, ses langues ou encore par les noms qu’il donne à ses enfants. Retrouvez sept articles publiés par sept des onze médias en ligne du projet Naila de CFI qui en mai dernier ont écrit sur le thème intitulé : « L’aliénation culturelle en Afrique ».

Les Congolaises à la quête de la beauté artificielle

Avec le vent de la modernité, les femmes congolaises se sont faites amies du maquillage pour se sentir belles. Certaines n’hésitent pas à recourir au dopage esthétique pour améliorer la taille de leurs seins ou de leurs fesses. Le souci est de plaire aux hommes. Mais la pratique comporte des conséquences néfastes comme vous pouvez le lire dans ce billet.

Des Maliennes piégées par la dépigmentation de la peau

Autrefois, les femmes maliennes utilisaient le beurre de karité pour rendre leur teint plus uniforme et brillant. Aujourd’hui, elles recourent aux produits éclaircissants modernes. Le nombre croissant de Maliennes qui s’adonnent à la dépigmentation de la peau inquiète. Lisez les détails dans cet article.

Quand les perruques l’emportent sur les cheveux naturels à Ndjamena

Au Tchad, les femmes sont de plus en plus intéressées par les coiffures modernes. Les mèches et les perruques ont remplacé les cheveux naturels de bon nombre de Tchadiennes. Retrouvez sur cette question l’article de Tchad infos.

Accoutrement sexy des jeunes Togolais

Les jeunes Togolais se soucient de leur apparence. Pour être à la page et sexy, ils n’ont pas trouvé mieux que de recourir aux nouvelles habitudes vestimentaires occidentales. Cliquez sur ce lien pour découvrir les styles et modes vestimentaires les plus en vogue à Lomé au Togo.

Quand la religion dicte ses noms aux enfants guinéens

Les peuples Condébilikas islamisés boudent les noms authentiques africains. Quand un enfant est né dans une famille, c’est dans la religion importée de l’Orient que la famille puise un nom à lui donner. Les raisons de ce comportement du peuple guinéen en matière de noms sont expliquées dans cet article.

Adieu le métier de crieur public au nord Mali

Outil incontournable de communication autrefois pour propager les nouvelles dans la société traditionnelle africaine, le tam-tam s’est vu remplacé par « le crieur public » dans les villes comme Gao dans le nord du Mali. Aujourd’hui, le métier de crieur public laisse lui aussi la place aux outils de communication modernes.

Le Niger décidé à faire revivre sa musique traditionnelle

L’immensité de son territoire correspond plus au moins à son pluralisme ethnolinguistique. Pour ne pas laisser la musique traditionnelle se faire engloutir par la musique moderne, le  Niger a trouvé une astuce qui permet de conserver et surtout de faire revivre ses instruments de musique traditionnelle tels que la vièle monocorde propre à l’Imzad des Touaregs ou l’Algaïta des Kanuris, ou encore la flûte envoûtante des Fulanis et bien d’autres. Découvez tout cela dans cet article d’Aïr infos.

  1. Dopage et chirurgie esthétiques, les Congolaises en raffolent mais pour quelles conséquences ?
  2. Quand une hypothétique beauté piège 2 400 000 Maliennes
  3. Coiffures tchadiennes : la tendance vers la revalorisation
  4. Mode : Quand les jeunes Togolais perdent leur identité vestimentaire
  5. Batailles (dé)-rangées entre prénoms ara-bizarres et afri-deins
  6. Crieur public : un metier en perte de vitesse
  7. Culture : numériser les anciens chants traditionnels pour sauvegarder le patrimoine culturel

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Les commentaires récents (1)

  1. Commentaire *Bien,il faut dire tout bonnement que l’Afrique a perdu ses valeurs et ça il n’y a plus rien à faire pour redevenir tel que nous étions auparavant.oh,mon Afrique d’antan….