Mike Hammer est, en quelques temps, devenu une star sur les réseaux sociaux congolais. C’est sûrement dû au fait qu’il est le représentant à Kinshasa de la première puissance économique et militaire du monde. Mais il affectionne particulièrement la plateforme à « l’oiseau bleu », Twitter où il a plus de 15 200 followers.
Mike « Nzita » Hammer qui change son deuxième prénom selon la région qu’il visite en RDC (dans l’est il est « Amani »), n’avait pas 5 mille followers fin 2018 quand Donald Trump l’annonçait prochain ambassadeur de la RDC. Moins d’un an et quelques 985 tweets seulement après, il en est au delà des 15K.
Profitant de sa présence à une formation que je donnais à Kinshasa, je lui ai demandé ce que la Twitter représentait pour lui. Outil de diplomatie ou de communication ?
Les deux, selon lui
C’est un Mike Hammer plus marqué par la solennité liée à son rang qui entre dans la salle Lubumbashi du Grand-Hôtel de Kinshasa. Aussitôt la mise en place effectuée, il prononçait son petit discours où il ressortait l’attachement de son gouvernement pour les questions de liberté de la presse et d’expression. Et moi qui m’attendais à obtenir le droit d’avoir 5 minutes d’interview avec lui, j’ai dû me contenter d’une seule question. Malgré toute sa bonne volonté, Monsieur l’ambassadeur ne pouvait pas avoir plus de temps en raison de son agenda.
Et donc, Twitter est un outil de communication ou de diplomatie ? Sa réponse est résumée dans la vidéo suivante :
J’ai retenu de son intervention que Twitter permet de communiquer directement sur la politique des Etats-Unis pour la République démocratique du Congo. Une communication plus feutrée comme le veut le sens de la diplomatie. Mais une communication plus directe aussi qui permet de se passer du besoin d’utiliser obligatoirement des canaux médiatiques. C’est en cela que le réseau social à l’oiseau bleu est à la fois un outil de diplomatie et de communication.
Ce parceque ,il metrise bien son domaine et il met le travail avant tout et re
ste sur sa missiin de la vision
usa ce n’est pas comme nous congolais ( l’argent avant tout)