Le lifting brésilien des fesses, plus communément appelé BBL, a révolutionné le monde de la chirurgie esthétique. Cette pratique consiste à transférer de la graisse des hanches, du ventre, du bas du dos ou des cuisses, aussi connu sous le nom de Lipo 360, pour obtenir des fesses dignes des plus grandes stars d’Instagram, le tout sans implants en silicone.
Autrefois, l’Occident vénérait la minceur, poussant certaines femmes à l’anorexie pour atteindre les standards de beauté de l’époque. Mais voilà, les temps changent ! Le BBL est arrivé en force, et nos voisins de l’autre côté de l’Atlantique ne jurent plus que par des fesses généreuses. Adieu les silhouettes filiformes, bonjour les courbes voluptueuses !
Même notre pays n’échappe pas à cette tendance. De plus en plus de femmes se rendent en Turquie, véritable Mecque du BBL, pour réaliser leur rêve. Fini les injections de produits douteux et dangereux. Désormais, c’est du sérieux : on opte pour le voyage médical.
Le BBL : bonne ou mauvaise chose ?
Le débat fait rage. Certaines voix s’élèvent pour dire que modifier son corps, c’est jouer à l’apprenti sorcier avec l’œuvre de Dieu. Mais soyons honnêtes, si une femme souhaite attirer les regards, se sentir valorisée et désirée, qui sommes-nous pour juger ?
Alors, pro BBL ou pas ? Pour les unes, c’est un hymne à la liberté de disposer de son corps ; pour les autres, une preuve de vanité. Quoi qu’il en soit, le BBL a fait une entrée fracassante dans le monde de la beauté congolaise, et il ne semble pas prêt à quitter la scène de sitôt.
Et vous, prêtes pour un petit voyage en Turquie ? Après tout, comme le dit le dicton : « Pour être belle, il faut souffrir… mais aussi un peu de liposuccion ! »