Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose, dit-on. Aujourd’hui, le temps finit par donner raison à ceux qui disaient que le dialogue de Kabila ne visait que le partage des postes. Qui peut encore dire le contraire ?
Le peuple espérait que ce dialogue contraigne Kabila à partir au terme de son deuxième et dernier mandat. Malheureusement, il n’en a rien été. On assiste plutôt au partage du hamburger. Et la population regarde…
Clé de répartition
L’accord issu du dialogue met la Constitution de côté et divise le gâteau de la manière suivante :
1. Kabila conserve son poste jusqu’en 2018, en violation de l’article 73 de la Constitution. Article qui stipule que l’élection présidentielle doit être organisée quatre-vingt-dix jours avant l’expiration du mandat du Président sortant.
2. L’opposition prend le poste de premier ministre sans majorité au parlement, et ce, en violation de la loi sur le statut de l’opposition politique. L’article 2 de cette loi dispose : « il faut entendre par opposition politique le parti politique ou le regroupement des partis politiques qui ne participent pas à l’exécutif ».
3. La Commission électorale nationale indépendante Ceni ne sera pas restructurée malgré son manque de crédibilité. Ce sera donc la même Ceni pro Kabila qui organisera les élections. Encore faut-il prouver que ces élections auront réellement lieu.
Accord conclu avec une opposition alimentaire
Nul n’ignore le degré de pauvreté de bon nombre de membres de l’opposition et de la société civile qui participent à ce dialogue. Beaucoup y sont allés pour toucher des per diems. Des centaines de dollars américains par jour. A cela s’ajoutent les dessous de table pour faire passer tel ou tel stratagème du régime.
Et dans tout cela, où est le respect de la Constitution ? Pour l’instant la population n’a que ses yeux pour constater la trahison.
Où est place des jeunes congolais qui pleure jour et nuit, pourquoi nos politiciens congolais chercher leur propres interêt et non de tous les peuples entier, si le dialogue etait une voie de sortie de violence pr le partage du gateau pour l’interêt de la populations pas male mais ns ne voulons pas être heureux ds la guerre plutôt être dans la paix pr n’est pas verse quelque sangs de congolais.
Une unique chose doit etre consideree de vraie » la democratie souveraine « , en realite les politiques se confondent dans ce qu ils croient bien faire pour la population qui a marre de toutes leurs betisent. Moi, personnellement je vais un Etat de Droit par acte et rien d autre
un président incapable de respecter la constitution de son pays ne peut rien faire que mentir. rien n’ est dans la gestion de ce monsieur que détruire la nation congolaise qui s’ était battu grâce aux labeurs de nos grands pères. un jour ce monsieur paiera. sa fin sera plus pire et il regrettera éternellement