Les comportements affichés par les leaders de l’opposition face à la participation au dialogue laissent perplexe. Certains refusent, d’autres acceptent. La majorité est gentiment accompagnée vers le glissement.
Opposition pro dialogue
Comme annoncé, le dialogue politique a démarré 1er septembre à Kinshasa. Et comme à leur habitude, les membres de l’opposition montrent un visage à plusieurs facettes. Certaines têtes de l’opposition s’affichent à la cité de l’UA, au malheur des autres qui, eux, refusent de participer audit dialogue. Malgré les efforts fournis pour présenter une opposition unie et empêcher l’actuel régime de glisser, les opposants peinent à dépasser leurs clivages. l’UNC, parti cher à Vital Kamerhe, est presque le porte-étendard de l’opposition pro dialogue. Une position qui a entrainé une vague de ruptures et une défection de nombreux membres du parti. La plateforme du Front des Démocrates, l’opposition qui se dit « républicaine » et « nationaliste », conduite par le président du Sénat Léon Kengo Wadondo, a également accepté le dialogue tout comme une partie de la société civile.
L’opposition anti dialogue
L’opposition anti dialogue est emmenée par plusieurs partis et personnalités de l’opposition, regroupés au sein du « Rassemblement de l’Opposition». A sa tête, l’opposant historique Étienne Tshisekedi qui, autrefois, a accepté de dialoguer après le conclave de Genval, mais qui aujourd’hui, boude catégoriquement le dialogue. Ce groupe soupçonne l’ancien Premier Ministre togolais Edem Kodjo, qui a endossé la casquette de facilitateur du processus électoral, de faire le jeu du pouvoir. Au lieu d’aller au dialogue, ils multiplient les appels à des journées « ville morte » et « école morte ». On attend désormais avec impatience leurs prochaines idées : « journée nourriture morte » ? Pourquoi pas. Il semble pourtant peu probable que ce genre d’actions permettent de remplir les objectifs : faire échouer le déroulement du dialogue et réclamer le respect de la constitution.
Conseil d’un jeune à ses ainés
Chers ainés opposants, Quoiqu’il en soit, tant que vous ne serez pas unis, votre combat ne sera qu’un effort accompagnant le pouvoir vers un règne « sese seko » (éternel). L’heure est venue d’adopter un langage commun pour mener votre combat car sans le savoir votre langue fourche et au lieu de crier « yebela », vous scandez « wumela ». L’imbroglio total !
Nous, peuple nous n’avons pas besoin ni de l’opposition, ni de la societé civile pour jouir de nos droits. assez déjà de nous voir souffrir sous le régne d’un gouvernement des inconscients qui ne se soucient que d leurs comptes bancaires et pas de sa population. pas de 3eme mendant. non!
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