Félix Tshisekedi pourrait devenir le prochain politicien mal aimé du peuple congolais. Ne soyez pas surpris. C’est vers cette menace que nous courons, poussé par certains compatriotes qui endurcissent le cœur du président.
Dans sa coalition au goût amer et parmi ceux qui veulent s’approprier le président, il émerge des attitudes, des comportements et des propos qui pourraient changer l’homme qu’était Tshisekedi à son arrivée au pouvoir. Disons, l’innocent apparent dont certains pensaient qu’il allait être très vite dominé par son allié majoritaire au Parlement, le FCC de Joseph Kabila.
L’histoire devrait déjà nous avoir suffisamment enseigné. De Mobutu à Joseph Kabila, le peuple a toujours été à la manœuvre dans la construction des despotes que sont devenus les différents présidents de ce pays. Et à y bien regarder, ni les manières, ni les méthodes et moins encore les pratiques n’ont changé. Entre-temps, tout le monde veut que tout change, mais personne ne change.
Le malheur d’être devenu président ?
J’espère vraiment me tromper ici ! Sinon, j’ai l’impression que le malheur de Félix Tshisekedi pourrait être le fait d’être devenu président de la RDC. Le citoyen ordinaire qu’il était, il y a encore presque 2 ans, s’étouffe sous le poids d’un pouvoir dont il ne pouvait imaginer les intrigues. Des pressions de son camp, du peuple et de l’extérieur pourraient ne pas laisser survivre « le président normal » qu’il voudrait être.
Je me souviens de ce Félix Tshisekedi pendant la course électorale qui l’a porté au pouvoir. L’homme était un doux monsieur aux discours visiblement innocents, et des intentions qui inspiraient espoir. Vous me direz que ce n’était en rien nouveau. En effet, mais pour avoir été longtemps été opposant, il y avait de quoi croire en un renouveau.
Cette mystification qu’on devrait éviter
Aujourd’hui, ce président parle moins, s’affiche peu et semble étouffé de toutes parts. Je crains alors qu’on endurcisse son cœur. Malheureusement, on continue à vouloir une chose et son contraire.
POWER and LEADERSHIP. Alors que POUVOIR renvoie à la POSSIBILITÉ/PUISSANCE, DIRIGER fait référence à la CAPACITÉ/COMPÉTENCE. Quand le LEADERSHIP manque à celui qui a le POUVOIR, celui-ci (pouvoir) va aller chez celui qui a le LEADERSHIP. Bref, le Pouvoir est extrinsèque tandis que le leadership lui est intrinsèque. MALHEUR À UN POUVOIR SANS LEADERSHIP.
Avis de Politologue.
Ça c est vrai. Cfr l histoire q on nous raconte des jalelo et Sanka yonsa …
Félix tu es protège par sang de Jésus
Malgré tout
You need positive changes in your country and the first things mentality