Des crimes se commettent aussi en prison à Lubumbashi, deuxième ville de la République du Congo.
Société
En RDC le fatalisme se nationalise
C’est fatal d’être fataliste ! Mon coeur galope, j’ai peur pour mon peuple. Combien de temps encore tiendra la nation congolaise ? Le fatalisme nous a rattrapés au risque de détruire notre avenir.
Les Yebelistes toujours au rendez-vous
Samedi 8 octobre, les léopards se sont imposés à Kinshasa contre la Libye 4 à 0 pour un match qualificatif de la coupe du monde. La RTNC qui assurait la retransmission du match a suspendu quelques minutes la rencontre lorsque les supporters […]
Bukavu, l’intégration difficile d’un amnistié
Patrick a 34 ans. Il avait 22 ans quand il a été incarcéré à la prison centrale de Bukavu, soupçonné d’avoir collaboré avec la rébellion du colonel Jules Mutebutsi lors de l’attaque de la ville en mai 2004.
Pollution à Lubumbashi, notre pain quotidien
Je m’inquiète de la pollution causée par les entreprises minières et manufacturières installées dans les quartiers résidentiels de Lubumbashi, en RDC.
La crise du cuivre tue l’école à Kolwezi
Un mois après la rentrée scolaire, beaucoup d’enfants de la ville minière de Kolwezi n’ont toujours pas regagné l’école. Avec la chute des cours du cuivre entamée en 2015, des centaines de familles ont perdu leur emploi.
La guerre des médias
En cette période des grands tumultes politiques, plusieurs organes de presse ne cessent de prendre position en faveur d’un camp politique. C’est une violation de la déontologie journalistique.
À Goma, un pasteur protège des prostitués
Le pasteur Xavier Kitumaini, la quarantaine, s’est fait porte-parole des prostitués, pour que leurs droits soient respectés. Le mois passé, il était en campagne de sensibilisation et d’identification des professionnelles du sexe à Goma. Interview.
« We are the word school », l’école des victimes de guerre.
Pour finir ma mission à Béni j’ai voulu raconter au moins une histoire heureuse. L’histoire d’une oasis au milieu du chaos, une école pour tous les enfants mais surtout pour ceux qui ont été victimes des affres de la guerre.